Bonjour,
Je suis NA-VREE à plusieurs titres...
Navrée de ce qui est arrivé à Paris dans la nuit du 13 novembre. Mes pensées vont à tous les individus touchés de près ou de loin par ce très douloureux événement.
Et navrée également de ne pas avoir pu me rendre en personne sur le salon Osez le bien-être - qui n'a pu avoir lieu que samedi 14, étant donné la violence de la veille et les décisions politiques
qui en ont découlé.
En effet, je n'ai pas pu me déplacer comme je le souhaitais le jour de cette belle manifestation... Mais, ma collègue a assuré le repas de midi. Et tout le monde était à priori content, même si beaucoup de visiteurs sont surtout venus l'après midi, peut-être n'étant pas sur que le salon ait lieu !
J'espère que vous trouverez un quelconque réconfort ou une envie de prendre soin de vous autrement en navigant sur mon blog.
A très bientôt pour suivre mon actualité !
Le saviez-vous ?
L’histoire de la soupe commence 500 ans avant JC. C’était l’époque où l’homme savait cuire, mais ne savait pas encore utiliser un liquide sur le feu faute de contenant résistant à la chaleur. Il invente ainsi « la soupe à la pierre » qui consistait à jeter des pierres chauffées à blanc dans une peau de bête remplie d’eau, pour y mettre ensuite des légumes, de la viande et des céréales.
Et aujourd’hui ?!
Selon les traditions culinaires et les régions, la soupe portera des noms très différents tels que : minestrone, gaspacho, bouillabaisse, pistou, bortsch, etc.
Colorée, parfumée, épicée, chaude ou froide, la soupe ne manque pas d’atouts pour surprendre les papilles ! De la plus simple à la plus sophistiquée, d’une entrée au plat principal, il est très facile de lui trouver sa place.
La soupe se veut inventive. Des restes de légumes, de céréales, de légumineuses, un soupçon de crème ou de purée d’oléagineux (noisettes, amandes, noix de cajou…), un peu de bouillon et la voilà transformée en une délicieuse préparation chaude et réconfortante. La soupe aime les plantes aromatiques et les épices, pensez-y à l’approche de l’hiver !
« Mange ta soupe pour grandir » n’est pas tout à fait juste, néanmoins, c’est une façon détournée de faire manger des légumes !
Pour garder la ligne !
Une simple soupe de légumes est également un atout minceur, mais aussi un bon moyen de s’hydrater.
Ma petite astuce : quelques paillettes d’algues ajoutées au dernier moment vous apporteront vitamines, sels minéraux et protéines !
Si vous voulez optimiser la valeur nutritionnelle de votre soupe, ne faites pas trop cuire vos légumes, préférez une cuisson vapeur, et mixez ensuite vos légumes avec le bouillon.
Réalisez vous-même votre propre velouté de pois cassés grâce à ma recette
!
Un
atelier sur la thématique des soupes a lieu à Paris aujourd'hui !
Cet automne est riche en manifestations !
J'entamais la danse le 15 Octobre en animant un stand autour de la dégustation de soupes et smoothies dans le cadre de la semaine du goût à l'IUT de Sénart.
Je me permets un aparté sur ce sujet : les aprioris sur la soupe se sont dissipés dès lors que les étudiants ont gouté. Certains y sont même revenus par 2 fois ! Quant aux smoothies, j'avais
concocté pour eux pommes concombre et lait d'avoine, et banane coco et lait de soja à la vanille. Ce dernier l'a largement emporté !
Me voilà maintenant en pleins préparatifs pour vous recevoir au mieux le weekend du 14-15 novembre sur mon stand lors du salon Osez le bien-être à Vert-Saint-Denis !
Une collègue naturopathe et moi-même vous préparerons le repas du midi. Je vous ferai goûter une de mes soupes préférées : potimarron aux épices !
Retrouvons-nous à la Ferme des Arts, rue Pasteur à Vert-Saint-Denis. Samedi 14 novembre de 11h à 14h et dimanche 15 novembre de 10h à 17h.
Plus de détails sur Facebook !
Peut être avez-vous des pois cassés dans votre placard et ne savez pas trop quoi en faire ?
Rien de tel qu’un bon potage aux pois cassés ! C’est simple et réconfortant lors des premiers frimas.
Pois cassés : 200g
Fenouil : ¼ à ½
Poireau : ½
Gros sel : 1 c à s
Aromates : thym, sauge, sarriette, laurier
Cerfeuil : quelques brins
1) Faites tremper les pois cassés environ 2 h (voire la veille) et jetez l’eau de trempage
2) Mettez les pois avec les aromates dans une casserole et couvrez avec 1 litre d’eau froide
3) Laissez cuire environ 30 mn à feu doux, salez en fin de cuisson et enlevez les aromates, notamment la feuille de laurier et de sauge
4) Emincez le fenouil et le poireau, faites-les cuire à la vapeur douce environ 5 mn
5) Mixez les légumes et les pois avec un peu de liquide, puis ajoutez le reste jusqu’à obtention de la consistance souhaitée
6) Rectifiez l’assaisonnement si nécessaire et parsemez de cerfeuil finement haché
Remarque : si vous n’avez pas de cerfeuil sous la main, quelques brins de persil plat, si possible, feront l’affaire !
Communément appelées courges, ces charmants végétaux sont de la famille des "cucurbitacées"
Cette
grande famille est cultivée dans bon nombre de pays pour ses fruits comestibles alliant formes, saveurs, textures et couleurs des plus variées. Les termes employés pour désigner ces végétaux se
confondent bien souvent selon les auteurs et les origines géographiques. Décoratives par leur forme et leur couleur, les cucurbitacées ont l'avantage de
très bien se conserver à condition qu'elles soient au frais et au sec ! C'est une bonne solution pour avoir un légume à portée de main, prêt à être cuisiné de mille et une façons (gratin,
salade, tarte, soupe, etc.)
Le charmant potimarron, le plus fréquent sur les marchés, est d'une couleur orange vif avec une forme de figue. Il est inutile de le peler ce qui fait un gain de temps d'autant plus que sa peau est très dure. Riche en vitamine A (vue) notamment localisée dans la peau, il se prépare souvent en soupe, mais convient tout aussi bien en purée ou gratin. Lui laisser sa peau permet d'obtenir des préparations plus onctueuses. Il se marie très bien avec le parfum de la châtaigne et celui du champignon.
La butternut, en forme de poire est aussi délicieuse en potage, et gratin.
Connaissez-vous la pomme d'or ? De la grosseur d'une orange et de la même couleur, c'est à s'y méprendre ! Très dure à couper, il est conseillé de la cuire quelques minutes à la vapeur avant de la préparer (mais prudence ne prolongez pas cette première cuisson à la vapeur car elle risque d'éclater !). Ensuite, vous pouvez la préparer comme un légume farci, par exemple aux champignons, c'est la saison !
La courge spaghetti comme son nom l'indique a la particularité lorsqu'elle est cuite de produire des filaments obtenus en grattant la chair avec une fourchette. C'est original et joli dans l'assiette. Vous pouvez l'accompagner d'un poisson par exemple ou d'un plat de pâtes.
Le pâtisson appelé aussi "artichaut de Jérusalem" de par sa saveur proche de celle de l’artichaut se consomme farci, les petits se mangent avec la peau.
Pensez aux épices telles que la cannelle, le cumin, le girofle, la muscade, le curry qui agrémentent parfaitement les saveurs de ces légumes d'automne-hiver.
Dotées d'une valeur nutritionnelle intéressante (minéraux, vitamines) et peu caloriques, elles méritent d'avoir une place de choix dans nos menus !
Il en existe d'autres, bien sûr, comme le giraumon, la citrouille, la musquée de Provence… Et savez-vous que le concombre, la pastèque et le melon font aussi partie de cette famille ? Mais là, ce n'est pas la saison pour en parler !
Bonne dégustation !
Dans le cadre de la Semaine du goût, j'aurai le plaisir d'animer un stand de dégustation de soupes et smoothies.
Venez me retrouver Jeudi 15 octobre 2015 à l'IUT de Fontainebleau entre 12h00 et 14h00 pour découvrir de nouvelles saveurs.
Détoxication et régénération
La cure de raisin n’est pas un effet de mode. Même si elle est remise au goût du jour, sa pratique date de plus de deux siècles (réf Johanna Brandt) !
La cure de raisin fait partie intégrante des outils utilisés en naturopathie lorsque l’on souhaite mettre son corps au repos d’un point de vue physiologique. C’est un bon moyen de se nettoyer, de se détoxiquer (éliminer les toxines). En effet, le rythme de vie actuel est bien souvent générateur de stress, la pollution est également une forme de stress, contribuant à acidifier l’organisme, et modifiant ainsi le bon équilibre acido-basique nécessaire pour être en bonne santé.
La cure de raisin fait partie de ce que l’on appelle les mono diètes, c’est à dire l’ingestion d’un seul aliment sur une durée plus ou moins longue (d’un repas à plusieurs jours).
Voyons l’intérêt de cette cure !
Du point de vue nutritionnel
Le raisin est intéressant, notamment pour :
• sa richesse minérale et surtout en potassium, environ 200 mg / 100 g
Ce minéral est très important car il contribue à maintenir les échanges intra et extracellulaires, il évite ainsi la déshydratation.
• la présence de fibres (cellulose) importantes pour le transit intestinal
• la vitamine A (pour la vue)
• les glucides (sucres) donc malgré tout un peu calorique !!
• les anti oxydants (poly phénols)
• beaucoup d’eau, environ 80g/100g
Le raisin est considéré comme un tonique naturel, un purifiant du sang !!
Préparation de la cure
C’est le bon moment ! Septembre-Octobre sont des moments de pleine saison, là où le raisin est à son maximum de maturité.
Avant la cure
Comme toute diète, il est conseillé les 2 à 3 jours précédents, de ne pas trop surcharger l’organisme (limitez les repas gras, boissons gazeuses et sucrées, amidon) afin de préparer votre organisme à une période de restriction, ô combien salutaire !
Pratique de la cure
Choix du raisin
Autant que faire se peut, choisissez du raisin non traité, car hélas, la culture conventionnelle utilise beaucoup de pesticides (traces blanches sur les grappes) très néfastes pour la santé !
Vous trouverez du raisin blanc et noir et plusieurs variétés (italia, muscat, chasselas). Sélectionnez de préférence un raisin à peau fine qui sera mieux assimilé (surtout si vous ne mastiquez pas trop !). Un aliment mal mastiqué peut provoquer des désordres intestinaux.
Préférez ainsi le raisin blanc, moins riches en tannins
Quantité
Vous pouvez en consommer à volonté par plusieurs prises dans la journée (laissez des temps de repos !)
Conseils
Si le temps n’est pas très beau et la température un peu fraîche, prenez des tisanes bien chaudes, faites un sauna si vous en avez la possibilité !
Etant donné que vous êtes en période de détoxication, il se peut que vous soyez confrontés à ce que l’on appelle une « crise d’élimination » pas nécessairement très agréable à vivre, mais salutaire. Ainsi, vous pouvez déclencher un rhume ou un mal de tête ! Cela signifie aussi que vous avez suffisamment d’ENERGIE pour pouvoir éliminer !
Si vous avez de l’huile essentielle de menthe poivrée, elle peut vous être bénéfique pour le mal de tête (1 goutte dans un peu d’huile et massez les tempes, mais prudence : toujours loin des yeux !).
Durée de la cure
Parler de cure veut dire donner du temps au temps ! Si c’est une première pour vous, et que vous craignez de ne pas tenir le coup, commencez par un repas, puis 2, puis la journée et pourquoi pas la semaine d’après, quelques jours d’affilée !
Si votre emploi du temps le permet, accordez-vous par exemple des moments de relaxation, de marche en forêt, bref du temps pour vous !
Reprise alimentaire
Tout comme vous aurez préparé votre organisme à la diète, il est bon de reprendre un mode alimentaire simplifié (fruits et légumes les 2 premiers jours). Cette alimentation doit être « hypo toxique » afin de réhabituer les fonctions digestives dans leur propre rôle.
Effets de la cure
En fonction de votre tempérament (morphologie, vitalité) et éventuellement d’un souci de santé, les résultats en seront bien sûr différents.
Améliorations possibles :
• Moins ou plus de constipation
• Moins de surcharge pondérale
• Une plus belle peau
• Moins de rhumes
• Moins de douleurs articulaires !
• Plus d’énergie !
Demandez conseil à un professionnel de santé (médecin, naturopathe), car en fonction de votre état de santé et de votre tempérament, il pourra vous renseigner sur de bonnes pratiques à mettre en place.
Bien que l’été touche à sa fin, les plantes aromatiques telles que le basilic sont encore bien présentes dans les jardins ou au balcon !
Basilic Ocimum basilicum
Famille
Le basilic appartient à la famille des Labiacées avec plus de 60 espèces reconnues.
Origine
Originaire d’Indonésie, le basilic est également cultivé dans beaucoup d’autres pays du monde.
Propriétés
Le basilic facilite la digestion, car c’est un bon stimulant de la sécrétion biliaire. De plus, il soulage les spasmes intestinaux et évite les flatulences.
Astuces santé
Une infusion de basilic est conseillée après le repas pour ses vertus digestives.
Utilisations culinaires
Incontournable dans le pesto, cette herbe très parfumée peut entrer dans la composition de nombreux plats tels que les soupes au pistou, les gaspachos, les ratatouilles, les légumes verts (crus et cuits), les céréales, les omelettes, les viandes blanches et les poissons. Il fait merveille dans la classique salade de tomates à la mozzarella !
Le basilic se plait bien en pot dans la cuisine !
Extrait de : Cuisinons aux huiles essentielles / Auteurs : Odile Davy, Martine Fayolle /Editions Anagramme
Lors des précédents ateliers, je vous avais fait part de mon projet d’avoir un blog.
Depuis plusieurs mois, celui-ci était en cours de construction, et il voit enfin le jour !
Je vous invite à le parcourir et à me livrer votre ressenti à la lecture de ce qui y est écrit.
Pour vous aider à naviguer, les pages : « qui suis-je ? », « ateliers cuisine », « bien-être » et « partenaires » font le tour de mon métier. Tandis que cette page d’accueil sera animée par la publication régulière d’articles à propos de la cuisine saine, de mes interventions lors de manifestations, de nouveautés…
Je vous remercie d’avance de votre fidélité !